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Une ode à la transgression.
Quatorze artistes du Ballet de l’Opéra national du Rhin témoignent ici de leur générosité, de leur vitalité, leur fougue - presque animales. Ohad Naharin se joue des limites et déconstruit l’espace du spectacle. En changeant les règles du jeu, en brouillant le cadre de l’observateur et de l’observé les interprètes font corps avec le public.
C’est inventif, drôle et émouvant. Sur une bande-son décoiffante alternant Beethoven et punk-rock japonais, libérée de la barrière des mots, la pièce inspire le dialogue et l’expression à travers le premier langage universel - le mouvement et la danse - et met l’accent sur ce qui nous est commun plutôt que sur ce qui nous sépare. Un peu rebelles, un peu punks, si tout paraît improvisé, chaque séquence est pourtant réglée comme une horloge. Et l’énergie insolente de cette troupe virtuose est communicative !
Chorégraphie : Ohad Naharin
Musiques : Yapoos, Takagi Masakatsu, Ogurusu Norihide, Drummatic, Fonica, Yuzu Kako, Lou Reed, Bobby Freeman, Nakagawa Takashi, Isolated Audio Players, Roletta Secohan, Flower Companyz, Ludwig van Beethoven, Tsippi Fleischer, John Tavener, The Ventures, Pan Sonic, The Aqua Velvets, Cirrus, Roberto Pregadio-Claudia, Boss Phobie, Haim Laroz
Conception sonore : David (Dudi) Bell
Costumes : Alla Eizenberg
Mentions
Pièce créée pour Batsheva – The Young Ensemble (2003)
Inspirée par Mamootot et Moshe d’Ohad Naharin.
Entré au répertoire du Ballet de l’OnR en 2021
L’espace scénique devient le lieu d’une célébration jubilatoire et participative.
Scèneweb
Une grosse bouffée d’énergie brute.
L’Alsace
Kamuyot renverse la table, s’immisce au coeur des publics.
les DNA