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Célèbre auteur britannique, Harold Pinter a longtemps exploré le couple et ses non-dits.
Dans cette pièce, brillamment interprétée par Swann Arlaud, Marc Arnaud et Marie Kauffmann, nous remontons le fil d’un adultère, dans un tourbillon d’émotions.
Pendant sept ans, Emma, galeriste à Londres, a trompé son époux Robert, éditeur, avec son meilleur ami Jerry, agent littéraire. Tout commence ici sur un aveu. Celui d’Emma à Jerry : elle vient de tout révéler à son mari.
Dans une chronologie à rebours, l’auteur retrace l’histoire de cette triangulation amoureuse : des séparations aux rencontres, des aveux aux mensonges. En renversant le cycle du temps de cette intrigue, il en souligne les troubles et les contradictions et nous livre une analyse complexe des sentiments et non-dits amoureux.
Qui manipule qui ? Qui est la victime ? Qui a vraiment trahi ? Le public mène l’enquête à la recherche d’une impossible vérité, là où tout peut être à la fois vrai et faux, tragique et
comique, réel et irréel.
Texte : Harold Pinter
Mise en scène : Tatiana Vialle
Avec Swann Arlaud, Marc Arnaud, Marie Kauffmann et Tobias Nuytten
Lumière : Christian Pinaud
Scénographie/vidéo : Alain Lagarde
Réalisation média : Arnaud Pottier, Manon Boucher, Studio BK A+E
Costumes : Camille Rabineau
Musique : Lou et Mahut
Photos : © Vincent Desailly, Caroline Bottaro
Soutien : Théâtre Roger Barat (Herblay sur Seine)
La pièce Trahisons de Harold Pinter (traduction de Olivier Cadiot) est représentée par L’ARCHE – agence théâtrale.
www.arche-editeur.com
« Dans une mise en scène taillée aux ciseaux de Tatiana Vialle, la pièce du dramaturge prend une autre dimension. Elle est magnifiée par la grâce des comédiens dont l’époustouflant Swann Arlaud. »
Le Figaro
« Swann Arlaud, comédien dont la fragilité et la grâce font autant merveille au théâtre qu’au cinéma. (…) De Petit paysan d’Hubert Charuel (César du meilleur acteur en 2018) à Grâce à Dieu de François Ozon (César du meilleur second rôle en 2020), Anatomie d’une chute (2023) de Justine Triet à Trahisons, Swann Arlaud excelle. »
Télérama